L’identité numérique est au cœur d’une transformation profonde des services publics. Elle promet une simplification radicale des démarches administratives. Mais en concentrant des données sensibles sur un même socle, elle devient une cible de choix pour les cybercriminels et les acteurs étatiques hostiles. Les menaces sont multiples, allant de l’usurpation d’identité totale à la manipulation de listes électorales. La question centrale n’est pas seulement la sécurisation, mais la résilience face à des attaques qui sont inévitables.
Le risque du « single point of failure »
Un portefeuille numérique centralisé est par nature vulnérable. S’il est compromis, c'est l’ensemble de l’écosystème qui tombe simultanément. Contrairement à une simple fuite ...
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